Gate News bot消息,Jan3创始人Samson Mow est en train de promouvoir son objectif, d'accélérer la diffusion de Bitcoin en Europe. Sa dernière initiative a été prise après une rencontre prometteuse avec la députée française Sarah Knafo à BTC Prague. Mow a déclaré sur X (anciennement Twitter) qu'il espère déclencher une vague nationale de popularisation de Bitcoin en France et dans toute l'Europe. Cela signifie que la France pourrait bientôt devenir l'un des pays à proposer d'utiliser Bitcoin dans son plan budgétaire national.
Mow et Knafo se sont rencontrés et sont en train de discuter de la manière d'établir des réserves stratégiques de Bitcoin en France. Cette idée est similaire à l'approche du Salvador, qui a fait du Bitcoin une monnaie légale. Ils ont également évoqué la possibilité d'élaborer des réglementations favorables au Bitcoin et à son écosystème. Le député européen Knafo a chaleureusement invité Mow Yongquan et son équipe à visiter la France pour explorer ces possibilités en profondeur.
Peu de temps après la réunion, Knafo a publié un post sur son compte X concernant cette rencontre. Elle a déclaré que cette réunion était très impressionnante et a loué Mow pour son rôle de conseiller auprès du président du Salvador et d'autres dirigeants nationaux. En retour, la France doit jouer un rôle de premier plan pour résoudre ces problèmes de manière concrète. Elle a également révélé les orientations futures et mentionné l'annonce prochaine de nouveaux projets pour la France et même pour l'ensemble de la région européenne.
Une partie de la raison est que Knafo, en plus de rencontrer Mow, a également rencontré Michael Saylor, le fondateur et président exécutif de Strategy (anciennement MicroStrategy). Elle décrit Saylor comme une personne « visionnaire et ambitieuse » et est impressionnée par son attitude envers Bitcoin. Ses discussions avec Saylor et Mow indiquent qu'elle s'efforce de consulter des professionnels pour élaborer une politique potentielle sur les actifs numériques pour la France.
En attendant, la France est également devenue le centre d'attention des nouvelles en raison de la popularité croissante du Bitcoin. Un groupe de blockchain basé à Paris a récemment acheté 624 jetons Bitcoin et a payé 60,2 millions d'euros (environ 68,7 millions de dollars). Cela a porté ses actifs en Bitcoin à 1 471 BTC, ce qui indique un investissement financier massif dans les cryptomonnaies. Cette initiative montre un intérêt croissant des entreprises pour les actifs numériques, en particulier dans le secteur technologique et financier européen.
Cependant, tous les progrès ne sont pas positifs. Récemment, l'Assemblée nationale française a rejeté une proposition de recherche sur l'utilisation du minage de Bitcoin comme alternative pour l'électricité excédentaire. Cette proposition, présentée par 123 membres du Rassemblement national, visait à étudier la possibilité d'utiliser le minage pour compenser le déficit électrique du réseau en cas de surplus de production d'énergie nucléaire. La proposition n'avait pas pour but de développer des projets de minage, mais simplement de faire des suggestions de recherche comme celles proposées par le grand groupe d'actifs numériques français Adan. Bien que la proposition ait une attitude prudente, les députés l'ont également rejetée.
Cependant, ceux qui ont participé à l'élaboration de nombreuses décisions législatives expriment une forte opposition à cela. Avec l'attention croissante des législateurs comme Knafo et des personnes du secteur des affaires, la France pourrait développer un intérêt plus profond pour Bitcoin. Avec la mise en œuvre de Bitcoin, la vision proposée par Karen Mok ferait de la France un leader dans le domaine de la finance numérique en Europe.
Enfin, les annonces et réunions récentes indiquent que l'attitude de la France envers Bitcoin évolue progressivement, mais des problèmes de régulation subsistent. L'émergence d'un grand nombre de monnaies numériques et d'entreprises sur le marché rapproche l'adoption de Bitcoin au niveau des pays européens plus que jamais.
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Le fondateur de Jan3, Samson Mow, prévoit de promouvoir Bitcoin en France.
Gate News bot消息,Jan3创始人Samson Mow est en train de promouvoir son objectif, d'accélérer la diffusion de Bitcoin en Europe. Sa dernière initiative a été prise après une rencontre prometteuse avec la députée française Sarah Knafo à BTC Prague. Mow a déclaré sur X (anciennement Twitter) qu'il espère déclencher une vague nationale de popularisation de Bitcoin en France et dans toute l'Europe. Cela signifie que la France pourrait bientôt devenir l'un des pays à proposer d'utiliser Bitcoin dans son plan budgétaire national.
Mow et Knafo se sont rencontrés et sont en train de discuter de la manière d'établir des réserves stratégiques de Bitcoin en France. Cette idée est similaire à l'approche du Salvador, qui a fait du Bitcoin une monnaie légale. Ils ont également évoqué la possibilité d'élaborer des réglementations favorables au Bitcoin et à son écosystème. Le député européen Knafo a chaleureusement invité Mow Yongquan et son équipe à visiter la France pour explorer ces possibilités en profondeur.
Peu de temps après la réunion, Knafo a publié un post sur son compte X concernant cette rencontre. Elle a déclaré que cette réunion était très impressionnante et a loué Mow pour son rôle de conseiller auprès du président du Salvador et d'autres dirigeants nationaux. En retour, la France doit jouer un rôle de premier plan pour résoudre ces problèmes de manière concrète. Elle a également révélé les orientations futures et mentionné l'annonce prochaine de nouveaux projets pour la France et même pour l'ensemble de la région européenne.
Une partie de la raison est que Knafo, en plus de rencontrer Mow, a également rencontré Michael Saylor, le fondateur et président exécutif de Strategy (anciennement MicroStrategy). Elle décrit Saylor comme une personne « visionnaire et ambitieuse » et est impressionnée par son attitude envers Bitcoin. Ses discussions avec Saylor et Mow indiquent qu'elle s'efforce de consulter des professionnels pour élaborer une politique potentielle sur les actifs numériques pour la France.
En attendant, la France est également devenue le centre d'attention des nouvelles en raison de la popularité croissante du Bitcoin. Un groupe de blockchain basé à Paris a récemment acheté 624 jetons Bitcoin et a payé 60,2 millions d'euros (environ 68,7 millions de dollars). Cela a porté ses actifs en Bitcoin à 1 471 BTC, ce qui indique un investissement financier massif dans les cryptomonnaies. Cette initiative montre un intérêt croissant des entreprises pour les actifs numériques, en particulier dans le secteur technologique et financier européen.
Cependant, tous les progrès ne sont pas positifs. Récemment, l'Assemblée nationale française a rejeté une proposition de recherche sur l'utilisation du minage de Bitcoin comme alternative pour l'électricité excédentaire. Cette proposition, présentée par 123 membres du Rassemblement national, visait à étudier la possibilité d'utiliser le minage pour compenser le déficit électrique du réseau en cas de surplus de production d'énergie nucléaire. La proposition n'avait pas pour but de développer des projets de minage, mais simplement de faire des suggestions de recherche comme celles proposées par le grand groupe d'actifs numériques français Adan. Bien que la proposition ait une attitude prudente, les députés l'ont également rejetée.
Cependant, ceux qui ont participé à l'élaboration de nombreuses décisions législatives expriment une forte opposition à cela. Avec l'attention croissante des législateurs comme Knafo et des personnes du secteur des affaires, la France pourrait développer un intérêt plus profond pour Bitcoin. Avec la mise en œuvre de Bitcoin, la vision proposée par Karen Mok ferait de la France un leader dans le domaine de la finance numérique en Europe.
Enfin, les annonces et réunions récentes indiquent que l'attitude de la France envers Bitcoin évolue progressivement, mais des problèmes de régulation subsistent. L'émergence d'un grand nombre de monnaies numériques et d'entreprises sur le marché rapproche l'adoption de Bitcoin au niveau des pays européens plus que jamais.