Un tweet récent du chercheur en crypto-monnaie SMQKE a attiré l'attention sur le processus d'exploration de la monnaie numérique de banque centrale (CBDC) en cours en France, mettant en évidence la priorité claire de ce pays pour l'architecture du XRP Ledger comme modèle pour ses ambitions en matière de monnaie numérique.
Citation de documents officiels et de déclarations des autorités françaises, le tweet précise : « N'oubliez pas que la Banque de France 'préférerait' les caractéristiques de XRP pour émettre la Monnaie numérique de banque centrale européenne. Cela a été consigné. »
Le document en question inclut un rapport de Piper Alderman citant une publication de CPA Australia, dans laquelle il est indiqué que la France a "discuté publiquement de Ripple/XRP comme une plateforme viable pour la monnaie numérique de banque centrale de l'Europe". Le rapport souligne l'attrait de XRP et XRP Ledger (XRPL) en raison de son architecture hautement centralisée et de ses capacités de réseau autorisé.
Ces caractéristiques contrastent avec les réseaux blockchain publics et ouverts comme Bitcoin ou Ethereum, qui, bien que décentralisés, sont moins adaptés aux exigences des banques centrales en matière de confidentialité des transactions, de vitesse et de contrôle réglementaire.
Le XRP Ledger se distingue par un réseau autorisé et une conception centralisée.
La conception du XRP Ledger fournit un cadre attrayant pour les banques centrales, permettant uniquement aux validateurs autorisés de confirmer les transactions. Ce modèle permet un haut niveau de contrôle et de conformité, ce qui est essentiel pour l’émission et la gestion des monnaies numériques par les autorités monétaires étatiques. Selon le rapport de CPA Australia, cette configuration a permis à XRP de gagner la confiance de nombreuses banques qui le considèrent comme une plate-forme technologique viable pour les CBDC.
La proposition de Ripple, comme indiqué dans le document de Piper Alderman, montre comment le XRP Ledger peut répondre à des exigences essentielles en matière de vitesse et de sécurité que les réseaux publics décentralisés ne peuvent absolument pas atteindre. Le rapport similaire ajoute également que, bien que certaines technologies blockchain puissent ne pas être adaptées aux objectifs des CBDC, des configurations telles que XRPL peuvent néanmoins répondre aux normes élevées nécessaires pour les systèmes monétaires officiels.
La Banque de France souligne la nécessité d'actifs de paiement sûrs.
Une autre preuve soutenant ce point de vue est le discours récent de Denis Beau, Premier Sous-gouverneur de la Banque de France, lors du sommet Fintech R:Evolution à Paris le 21 mai 2025.
Le discours, publié officiellement par la Banque des Règlements Internationaux, énonce trois piliers pour le développement de l'écosystème financier européen, dont l'un est la finance tokenisée.
Beau a confirmé que le manque d'actifs de paiement sûrs entrave actuellement la finance tokenisée en Europe. En réponse, il a déclaré que l'Eurosystème s'est engagé à fournir un CBDC de gros d'ici 2026 pour répondre à cette demande.
La Banque de France a déterminé que l'intégration d'un actif sécurisé tel que celui-ci est non seulement très importante pour la stabilité financière nationale, mais aussi pour garantir la souveraineté monétaire de l'Europe.
Dans ce contexte, la pertinence de plateformes telles que le XRP Ledger devient particulièrement importante. Comme le note le document, la proposition de Ripple démontre comment certaines configurations technologiques de blockchain peuvent répondre aux exigences de sécurité, d'efficacité et d'évolutivité pour le déploiement de la monnaie numérique de banque centrale (CBDC).
La France se positionne comme le leader dans le développement des CBDC en Europe.
Denis Beau a également souligné l'importance de cadres réglementaires harmonisés tels que MiCA et Pilot Regime pour promouvoir le développement des actifs tokenisés à travers l'Europe. Il a indiqué que bien qu'il y ait des progrès, il reste des obstacles significatifs, notamment la nécessité d'une infrastructure soutenue par la banque centrale pour permettre des systèmes financiers basés sur la blockchain sécurisés et évolutifs.
La participation officielle des représentants du marché aux discussions sur la mise en œuvre de la réglementation et le déploiement de la technologie souligne l'effort de collaboration des autorités financières françaises et européennes pour façonner l'économie numérique. Beau a conclu son discours en affirmant sa conviction que l'écosystème français a un grand potentiel pour développer des cas d'utilisation CBDC à forte valeur ajoutée.
Les fonctionnalités de XRP correspondent à la vision de la monnaie numérique de banque centrale de la zone euro.
En résumé, les déclarations de la Banque de France, le rapport de CPA Australia cité et les documents partagés par SMQKE convergent vers un message principal : les fonctionnalités du XRP Ledger correspondent étroitement aux exigences opérationnelles d'un CBDC européen. Bien qu'aucune plateforme finale n'ait encore été officiellement désignée, l'architecture du XRP est toujours examinée de manière proactive par les autorités monétaires importantes en Europe.
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Documents récents : Les banques françaises privilégient les fonctionnalités de XRP plutôt que l'émission de CBDC en Europe
Un tweet récent du chercheur en crypto-monnaie SMQKE a attiré l'attention sur le processus d'exploration de la monnaie numérique de banque centrale (CBDC) en cours en France, mettant en évidence la priorité claire de ce pays pour l'architecture du XRP Ledger comme modèle pour ses ambitions en matière de monnaie numérique. Citation de documents officiels et de déclarations des autorités françaises, le tweet précise : « N'oubliez pas que la Banque de France 'préférerait' les caractéristiques de XRP pour émettre la Monnaie numérique de banque centrale européenne. Cela a été consigné. » Le document en question inclut un rapport de Piper Alderman citant une publication de CPA Australia, dans laquelle il est indiqué que la France a "discuté publiquement de Ripple/XRP comme une plateforme viable pour la monnaie numérique de banque centrale de l'Europe". Le rapport souligne l'attrait de XRP et XRP Ledger (XRPL) en raison de son architecture hautement centralisée et de ses capacités de réseau autorisé. Ces caractéristiques contrastent avec les réseaux blockchain publics et ouverts comme Bitcoin ou Ethereum, qui, bien que décentralisés, sont moins adaptés aux exigences des banques centrales en matière de confidentialité des transactions, de vitesse et de contrôle réglementaire.
Le XRP Ledger se distingue par un réseau autorisé et une conception centralisée. La conception du XRP Ledger fournit un cadre attrayant pour les banques centrales, permettant uniquement aux validateurs autorisés de confirmer les transactions. Ce modèle permet un haut niveau de contrôle et de conformité, ce qui est essentiel pour l’émission et la gestion des monnaies numériques par les autorités monétaires étatiques. Selon le rapport de CPA Australia, cette configuration a permis à XRP de gagner la confiance de nombreuses banques qui le considèrent comme une plate-forme technologique viable pour les CBDC. La proposition de Ripple, comme indiqué dans le document de Piper Alderman, montre comment le XRP Ledger peut répondre à des exigences essentielles en matière de vitesse et de sécurité que les réseaux publics décentralisés ne peuvent absolument pas atteindre. Le rapport similaire ajoute également que, bien que certaines technologies blockchain puissent ne pas être adaptées aux objectifs des CBDC, des configurations telles que XRPL peuvent néanmoins répondre aux normes élevées nécessaires pour les systèmes monétaires officiels.
La Banque de France souligne la nécessité d'actifs de paiement sûrs. Une autre preuve soutenant ce point de vue est le discours récent de Denis Beau, Premier Sous-gouverneur de la Banque de France, lors du sommet Fintech R:Evolution à Paris le 21 mai 2025. Le discours, publié officiellement par la Banque des Règlements Internationaux, énonce trois piliers pour le développement de l'écosystème financier européen, dont l'un est la finance tokenisée. Beau a confirmé que le manque d'actifs de paiement sûrs entrave actuellement la finance tokenisée en Europe. En réponse, il a déclaré que l'Eurosystème s'est engagé à fournir un CBDC de gros d'ici 2026 pour répondre à cette demande. La Banque de France a déterminé que l'intégration d'un actif sécurisé tel que celui-ci est non seulement très importante pour la stabilité financière nationale, mais aussi pour garantir la souveraineté monétaire de l'Europe. Dans ce contexte, la pertinence de plateformes telles que le XRP Ledger devient particulièrement importante. Comme le note le document, la proposition de Ripple démontre comment certaines configurations technologiques de blockchain peuvent répondre aux exigences de sécurité, d'efficacité et d'évolutivité pour le déploiement de la monnaie numérique de banque centrale (CBDC). La France se positionne comme le leader dans le développement des CBDC en Europe. Denis Beau a également souligné l'importance de cadres réglementaires harmonisés tels que MiCA et Pilot Regime pour promouvoir le développement des actifs tokenisés à travers l'Europe. Il a indiqué que bien qu'il y ait des progrès, il reste des obstacles significatifs, notamment la nécessité d'une infrastructure soutenue par la banque centrale pour permettre des systèmes financiers basés sur la blockchain sécurisés et évolutifs. La participation officielle des représentants du marché aux discussions sur la mise en œuvre de la réglementation et le déploiement de la technologie souligne l'effort de collaboration des autorités financières françaises et européennes pour façonner l'économie numérique. Beau a conclu son discours en affirmant sa conviction que l'écosystème français a un grand potentiel pour développer des cas d'utilisation CBDC à forte valeur ajoutée. Les fonctionnalités de XRP correspondent à la vision de la monnaie numérique de banque centrale de la zone euro. En résumé, les déclarations de la Banque de France, le rapport de CPA Australia cité et les documents partagés par SMQKE convergent vers un message principal : les fonctionnalités du XRP Ledger correspondent étroitement aux exigences opérationnelles d'un CBDC européen. Bien qu'aucune plateforme finale n'ait encore été officiellement désignée, l'architecture du XRP est toujours examinée de manière proactive par les autorités monétaires importantes en Europe.