Un événement majeur qui choque le monde des cryptoactifs a récemment fait surface : un mystérieux groupe de hackers se faisant appeler "Chasseur de Moineaux" a déclaré avoir réussi à infiltrer la plus grande plateforme de trading de cryptoactifs d'Iran, Nobitex, puis a entrepris une action inattendue - transférant des actifs numériques d'une valeur de plus de 90 millions de dollars vers une Adresse de burn définitivement irrécupérable.
Ce n'est pas un acte de vol en ligne au sens traditionnel. Ces actifs numériques ont en fait été envoyés à des adresses techniquement inaccessibles, ce qui équivaut à une destruction complète. Les experts techniques évaluent qu'il faudrait des milliards d'années, même en utilisant les technologies de calcul les plus avancées, pour déchiffrer les clés de ces adresses, ce qui revient en réalité à une suppression permanente de ces actifs.
Ce qui est encore plus frappant, c'est qu'un jour avant cette action, la même organisation a également revendiqué avoir réussi à infiltrer l'institution financière clé des Gardiens de la Révolution iranienne, la banque Sepah, et a menacé de divulguer son code interne et ses données sensibles, menaçant directement la sécurité financière du régime iranien.
Cette action de cyberattaque continue à haute précision a suscité de vastes spéculations. Les experts du domaine de la sécurité analysent que cela n'est probablement pas un comportement de hacker ordinaire, mais plutôt une action de guerre cybernétique de niveau national. La plupart des analyses suggèrent qu'il pourrait s'agir d'une nouvelle stratégie de "décapitation numérique", dont l'objectif n'est pas d'acquérir des richesses, mais de détruire directement l'infrastructure critique de l'adversaire.
Pour l'Iran, les cryptoactifs sont devenus un outil important pour contourner les sanctions internationales et maintenir le commerce à l'étranger. Une fois cette attaque confirmée, elle causera des frappes multi-dimensionnelles sur les systèmes politique, économique et militaire de l'Iran.
Cet événement pourrait marquer une nouvelle étape dans les conflits internationaux - sans armes physiques, sans fumée de champ de bataille, mais capable de frapper avec précision les nerfs économiques d'un pays. Lorsque les hackers peuvent causer des dommages aussi graves aux infrastructures financières d'un pays, la nature et les règles des conflits régionaux semblent être redéfinies.
Cette nouvelle forme d'attaque réseau suscite de profondes réflexions : s'agit-il d'une nouvelle forme de guerre à l'ère numérique, ou d'une action extrême dans le cyberespace ? Les conflits régionaux futurs se déplaceront-ils de plus en plus des champs de bataille physiques vers la blockchain et les infrastructures numériques ?
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DefiSecurityGuard
· Il y a 10h
analyse du vecteur d'exploitation... exemple classique de déploiement de contrat blackhole. pas vos clés = pas vos actifs
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BlockDetective
· Il y a 11h
Eh bien, ils brûlent de l'argent directement.
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MercilessHalal
· Il y a 11h
C'est jouer avec de l'argent.
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GateUser-75ee51e7
· Il y a 11h
incroyable ! Hacker joue comme ça
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NonFungibleDegen
· Il y a 11h
ces hackers sont discrètement bas, pas mentir
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SingleForYears
· Il y a 11h
La guerre moderne est devenue un jeu d'intelligence.
Un événement majeur qui choque le monde des cryptoactifs a récemment fait surface : un mystérieux groupe de hackers se faisant appeler "Chasseur de Moineaux" a déclaré avoir réussi à infiltrer la plus grande plateforme de trading de cryptoactifs d'Iran, Nobitex, puis a entrepris une action inattendue - transférant des actifs numériques d'une valeur de plus de 90 millions de dollars vers une Adresse de burn définitivement irrécupérable.
Ce n'est pas un acte de vol en ligne au sens traditionnel. Ces actifs numériques ont en fait été envoyés à des adresses techniquement inaccessibles, ce qui équivaut à une destruction complète. Les experts techniques évaluent qu'il faudrait des milliards d'années, même en utilisant les technologies de calcul les plus avancées, pour déchiffrer les clés de ces adresses, ce qui revient en réalité à une suppression permanente de ces actifs.
Ce qui est encore plus frappant, c'est qu'un jour avant cette action, la même organisation a également revendiqué avoir réussi à infiltrer l'institution financière clé des Gardiens de la Révolution iranienne, la banque Sepah, et a menacé de divulguer son code interne et ses données sensibles, menaçant directement la sécurité financière du régime iranien.
Cette action de cyberattaque continue à haute précision a suscité de vastes spéculations. Les experts du domaine de la sécurité analysent que cela n'est probablement pas un comportement de hacker ordinaire, mais plutôt une action de guerre cybernétique de niveau national. La plupart des analyses suggèrent qu'il pourrait s'agir d'une nouvelle stratégie de "décapitation numérique", dont l'objectif n'est pas d'acquérir des richesses, mais de détruire directement l'infrastructure critique de l'adversaire.
Pour l'Iran, les cryptoactifs sont devenus un outil important pour contourner les sanctions internationales et maintenir le commerce à l'étranger. Une fois cette attaque confirmée, elle causera des frappes multi-dimensionnelles sur les systèmes politique, économique et militaire de l'Iran.
Cet événement pourrait marquer une nouvelle étape dans les conflits internationaux - sans armes physiques, sans fumée de champ de bataille, mais capable de frapper avec précision les nerfs économiques d'un pays. Lorsque les hackers peuvent causer des dommages aussi graves aux infrastructures financières d'un pays, la nature et les règles des conflits régionaux semblent être redéfinies.
Cette nouvelle forme d'attaque réseau suscite de profondes réflexions : s'agit-il d'une nouvelle forme de guerre à l'ère numérique, ou d'une action extrême dans le cyberespace ? Les conflits régionaux futurs se déplaceront-ils de plus en plus des champs de bataille physiques vers la blockchain et les infrastructures numériques ?