Récemment, un procureur du ministère de la Justice a exprimé son avis sur le cas du fondateur d'une certaine plateforme de Cryptoactifs. Le procureur a souligné que, bien que cette plateforme ait pris des mesures pour renforcer la Conformité après avoir été examinée, cela ne suffisait pas à justifier une peine avec sursis. Il a insisté sur le fait que, bien que cette démarche soit louable, elle ne devrait pas servir de base à une réduction de peine.
Le procureur a également souligné qu'il ne pensait pas que le défendeur puisse être comparé aux personnes impliquées dans d'autres affaires de cryptoactifs bien connues. Cependant, il a averti que si ces affaires étaient condamnées à une peine de probation, cela pourrait encourager davantage de personnes à prendre des risques, voire à mener des activités illégales à une plus grande échelle.
Il convient de noter qu'auparavant, le juge avait exprimé une préférence pour adopter les recommandations du bureau des services de probation, à savoir envisager une peine d'emprisonnement de 10 à 16 mois, suivie d'une période de libération sous surveillance de 1 à 3 ans. Cette position contraste fortement avec celle du procureur, suscitant des préoccupations concernant le résultat final du jugement.
Le développement de cette affaire a suscité une large discussion dans l'industrie des cryptoactifs sur les questions de conformité. Les professionnels du secteur estiment généralement que le renforcement de l'autodiscipline et le respect des réglementations sont des conditions nécessaires à un développement sain de l'industrie. Cependant, la manière de trouver un équilibre entre l'encouragement de l'innovation et l'assurance de la conformité reste un sujet qui nécessite encore d'être exploré.
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Procureur : La conformité des plateformes de chiffrement ne devrait pas être un motif de réduction de peine.
Récemment, un procureur du ministère de la Justice a exprimé son avis sur le cas du fondateur d'une certaine plateforme de Cryptoactifs. Le procureur a souligné que, bien que cette plateforme ait pris des mesures pour renforcer la Conformité après avoir été examinée, cela ne suffisait pas à justifier une peine avec sursis. Il a insisté sur le fait que, bien que cette démarche soit louable, elle ne devrait pas servir de base à une réduction de peine.
Le procureur a également souligné qu'il ne pensait pas que le défendeur puisse être comparé aux personnes impliquées dans d'autres affaires de cryptoactifs bien connues. Cependant, il a averti que si ces affaires étaient condamnées à une peine de probation, cela pourrait encourager davantage de personnes à prendre des risques, voire à mener des activités illégales à une plus grande échelle.
Il convient de noter qu'auparavant, le juge avait exprimé une préférence pour adopter les recommandations du bureau des services de probation, à savoir envisager une peine d'emprisonnement de 10 à 16 mois, suivie d'une période de libération sous surveillance de 1 à 3 ans. Cette position contraste fortement avec celle du procureur, suscitant des préoccupations concernant le résultat final du jugement.
Le développement de cette affaire a suscité une large discussion dans l'industrie des cryptoactifs sur les questions de conformité. Les professionnels du secteur estiment généralement que le renforcement de l'autodiscipline et le respect des réglementations sont des conditions nécessaires à un développement sain de l'industrie. Cependant, la manière de trouver un équilibre entre l'encouragement de l'innovation et l'assurance de la conformité reste un sujet qui nécessite encore d'être exploré.