Actuellement, une crise de confiance balaie le marché NFT, et un ami m'a posé quelques questions sur le mécanisme de confiance au sein de la communauté.
Dans le monde du Web3, lorsque nous discutons de la confiance, nous rencontrons deux scénarios principaux.
Premièrement, les projets basés sur des protocoles implémentent la confiance en déployant du code, connu sous le nom de concept "sans confiance". Prenez Bitcoin comme exemple : les gens n'ont pas besoin de faire confiance à Satoshi Nakamoto, ils ont seulement besoin de faire confiance à l'intégrité du code Bitcoin. De même, si une personne est préoccupée par la sécurité d'Uniswap, elle n'a pas besoin de faire confiance au fondateur Hayden Adam, mais seulement de faire confiance au code d'Uniswap lui-même. Cette confiance découle du consensus au niveau technique et soutient la valeur fondamentale du monde chiffré.
Deuxièmement, il existe des projets communautaires qui créent la confiance en s'alignant sur des valeurs et des objectifs partagés. Bien que ces projets soient axés sur la communauté, il y a généralement un parrain central ou un exécuteur qui supervise l'avancement du projet sur une longue période de temps. Dans ce cas, la confiance découle de valeurs et d'objectifs partagés, et la communauté doit s'entendre sur des valeurs partagées et croire que les artistes interprètes (qu'il s'agisse d'individus, de groupes ou d'entreprises) sont également engagés dans leur réalisation. Il est important de comprendre que l'impact de la technologie est limité et qu'il existe de nombreux domaines où la technologie ne peut pas être réglementée. Dans de tels cas, il existe toujours un moyen de contourner les contraintes si l'exécuteur le souhaite. C'est là que les technologies Web3 peuvent entrer en jeu, aidant à la coordination des équipes et au changement de propriétaire, plutôt que d'imposer un contrôle strict sur tous les aspects du projet. Les jeux multijoueurs sont également devenus un récit courant dans Web3, bien que cela ne corresponde pas à la philosophie originale de la technologie de cryptage.
De toute évidence, les scénarios ci-dessus sont deux extrêmes d'un vaste monde ; le monde est en effet complexe, avec de nombreuses zones grises entre les deux. De nombreux innovateurs travaillent à une autonomie plus mature grâce à la technologie afin que les projets communautaires puissent également avoir un niveau de confiance plus élevé dans la technologie.
Mais à ce jour, les projets communautaires s'appuient encore fortement sur les valeurs pour parvenir à un consensus. Si un individu ou une équipe tente de construire un mécanisme complexe pour gagner la confiance de la communauté, cela indique qu'ils n'avaient pas un large consensus sur les valeurs au niveau de la société pour commencer. À mon avis, c'est un signe clair d'échec pour un projet communautaire.
Revenons en arrière et discutons des projets NFT, en particulier des projets PFP NFT, ces projets ont-ils vraiment une valeur consensuelle ? Cela semble peu probable. La plupart des projets NFT attirent les investissements en essayant de raconter une histoire convaincante, tandis que l'objectif principal de la plupart des participants de la communauté est de gagner de l'argent. **L'objectif commun semble être de trouver le prochain successeur, et il n'y a pas de réel consensus sur les valeurs. ** La couche technique a-t-elle introduit un consensus ? Puisqu'il ne s'agit que d'une collection d'images en chaîne / hors chaîne et qu'il manque même des comptes multisig appartenant à la communauté, il y a peu de consensus technique à proprement parler.
Alors que de tels projets peuvent maintenir un délicat équilibre de confiance pendant un certain temps, et peuvent même présenter de fortes caractéristiques de consensus pour attirer plus de participants, cet équilibre est très fragile et facilement rompu. Le sort d'un projet communautaire n'est pas déterminé par l'initiateur du projet, mais par la communauté elle-même. Une communauté n'est pas un produit de la chaîne de montage - une communauté doit mûrir et se développer de manière organique avec sa propre philosophie culturelle.
Voir l'original
This page may contain third-party content, which is provided for information purposes only (not representations/warranties) and should not be considered as an endorsement of its views by Gate, nor as financial or professional advice. See Disclaimer for details.
Qu'est-ce qui cause la crise actuelle de la fiducie NFT ?
Auteur : Chao Wang, cryptage KOL ; traduction : Jinse Finance xiaozou
Actuellement, une crise de confiance balaie le marché NFT, et un ami m'a posé quelques questions sur le mécanisme de confiance au sein de la communauté.
Dans le monde du Web3, lorsque nous discutons de la confiance, nous rencontrons deux scénarios principaux.
Premièrement, les projets basés sur des protocoles implémentent la confiance en déployant du code, connu sous le nom de concept "sans confiance". Prenez Bitcoin comme exemple : les gens n'ont pas besoin de faire confiance à Satoshi Nakamoto, ils ont seulement besoin de faire confiance à l'intégrité du code Bitcoin. De même, si une personne est préoccupée par la sécurité d'Uniswap, elle n'a pas besoin de faire confiance au fondateur Hayden Adam, mais seulement de faire confiance au code d'Uniswap lui-même. Cette confiance découle du consensus au niveau technique et soutient la valeur fondamentale du monde chiffré.
Deuxièmement, il existe des projets communautaires qui créent la confiance en s'alignant sur des valeurs et des objectifs partagés. Bien que ces projets soient axés sur la communauté, il y a généralement un parrain central ou un exécuteur qui supervise l'avancement du projet sur une longue période de temps. Dans ce cas, la confiance découle de valeurs et d'objectifs partagés, et la communauté doit s'entendre sur des valeurs partagées et croire que les artistes interprètes (qu'il s'agisse d'individus, de groupes ou d'entreprises) sont également engagés dans leur réalisation. Il est important de comprendre que l'impact de la technologie est limité et qu'il existe de nombreux domaines où la technologie ne peut pas être réglementée. Dans de tels cas, il existe toujours un moyen de contourner les contraintes si l'exécuteur le souhaite. C'est là que les technologies Web3 peuvent entrer en jeu, aidant à la coordination des équipes et au changement de propriétaire, plutôt que d'imposer un contrôle strict sur tous les aspects du projet. Les jeux multijoueurs sont également devenus un récit courant dans Web3, bien que cela ne corresponde pas à la philosophie originale de la technologie de cryptage.
De toute évidence, les scénarios ci-dessus sont deux extrêmes d'un vaste monde ; le monde est en effet complexe, avec de nombreuses zones grises entre les deux. De nombreux innovateurs travaillent à une autonomie plus mature grâce à la technologie afin que les projets communautaires puissent également avoir un niveau de confiance plus élevé dans la technologie.
Mais à ce jour, les projets communautaires s'appuient encore fortement sur les valeurs pour parvenir à un consensus. Si un individu ou une équipe tente de construire un mécanisme complexe pour gagner la confiance de la communauté, cela indique qu'ils n'avaient pas un large consensus sur les valeurs au niveau de la société pour commencer. À mon avis, c'est un signe clair d'échec pour un projet communautaire.
Revenons en arrière et discutons des projets NFT, en particulier des projets PFP NFT, ces projets ont-ils vraiment une valeur consensuelle ? Cela semble peu probable. La plupart des projets NFT attirent les investissements en essayant de raconter une histoire convaincante, tandis que l'objectif principal de la plupart des participants de la communauté est de gagner de l'argent. **L'objectif commun semble être de trouver le prochain successeur, et il n'y a pas de réel consensus sur les valeurs. ** La couche technique a-t-elle introduit un consensus ? Puisqu'il ne s'agit que d'une collection d'images en chaîne / hors chaîne et qu'il manque même des comptes multisig appartenant à la communauté, il y a peu de consensus technique à proprement parler.
Alors que de tels projets peuvent maintenir un délicat équilibre de confiance pendant un certain temps, et peuvent même présenter de fortes caractéristiques de consensus pour attirer plus de participants, cet équilibre est très fragile et facilement rompu. Le sort d'un projet communautaire n'est pas déterminé par l'initiateur du projet, mais par la communauté elle-même. Une communauté n'est pas un produit de la chaîne de montage - une communauté doit mûrir et se développer de manière organique avec sa propre philosophie culturelle.