Qu'il s'agisse du monde crypté ou du monde réel, la confiance est la base du fonctionnement continu du monde. Dans le monde de la cryptographie, la confiance se construit de deux manières distinctes.
Les projets les plus courants dans le monde du chiffrement sont des projets de protocole fort, qui implémentent la confiance grâce à un code déployé sur le réseau blockchain qui ne peut pas être modifié à volonté.Ce concept est appelé "Trustless", qui est souvent traduit par "faire confiance". Bien sûr, la méfiance ne signifie pas qu'il n'y a pas de confiance, mais qu'il n'y a pas lieu de considérer le facteur confiance. Parce que **la confiance des gens vient de 1) le code est ouvert, transparent et fort ; 2) le réseau blockchain où le code est déployé est également suffisamment sécurisé. **
En prenant Bitcoin comme exemple, les gens n'ont pas besoin de faire confiance à Satoshi Nakamoto. La confiance de chacun vient de l'intégrité du code Bitcoin et de la sécurité du réseau Bitcoin. De même, si une personne utilise Uniswap, elle n'a pas à faire confiance au fondateur Hayden Adams, mais fait confiance au code d'Uniswap lui-même et à la sécurité du réseau Ethereum. Cette forme de confiance découle d'un consensus au niveau technique et sous-tend les valeurs fondamentales du monde de la cryptographie.
Avec l'évolution de la culture du chiffrement, de nombreux projets communautaires ont vu le jour. De tels projets s'appuient sur les membres de la communauté pour organiser et faire avancer le projet, plutôt que sur du code pré-déployé sur la blockchain. Bien qu'il soit dit communautaire, la plupart des projets impliquent généralement un initiateur et un exécuteur centralisé. Longtemps, la communauté a encore besoin d'eux pour organiser efficacement le travail et favoriser le développement du projet, et parfois ils maîtrisent même les ressources et les engagements donnés souvent. font également partie du consensus général.
**La confiance dans ce contexte découle de la reconnaissance de valeurs et d'objectifs partagés, sur lesquels la communauté doit s'accorder et croire que les artistes interprètes (qu'il s'agisse d'individus, de groupes ou d'entreprises) sont également attachés à ces valeurs. **Tout le monde comprend que le pouvoir contraignant de la technologie est limité, et si l'exécutant le souhaite, il y a toujours un moyen de le contourner. Ici, la technologie de cryptage joue davantage un rôle dans la répartition de la propriété, la coordination du groupe, etc., plutôt qu'un contrôle strict sur tous les éléments du projet. Les "jeux multijoueurs" sont devenus un récit populaire dans Web3, bien que, à certains égards, cela soit en contradiction avec l'éthique sous-jacente du monde de la cryptographie.
Mais le monde n'est pas noir et blanc, ces deux situations sont comme les deux extrémités d'un spectre. La plupart des projets de protocole ne peuvent pas atteindre 100 % de contraintes de code, mais s'appuient sur ou autorisent l'intervention de la couche sociale dans une certaine mesure. Même les projets purement centrés sur les membres de la communauté utiliseront plus ou moins des contraintes de code, telles que des comptes de cogestion multi-personnes basés sur des contrats intelligents. Il existe encore de nombreux innovateurs qui travaillent dur pour assembler ces deux situations, et grâce à l'innovation, de nombreux scénarios qui ne pourraient pas être réalisés par le biais du code peuvent être réalisés.
Mais à ce jour, les projets communautaires reposent encore principalement sur le consensus de la couche sociale sur les valeurs. Un ami m'a demandé s'il existait un bon mécanisme ou même un mécanisme général pouvant être utilisé pour établir la confiance dans les projets communautaires, mais je ne pense pas qu'il y en ait un. S'il est nécessaire d'établir un mécanisme complexe pour gagner la confiance de la communauté, cela montre que le consensus de la couche sociale sur les valeurs n'a pas été atteint. Pour un projet qui s'appuie sur la communauté, son destin est presque condamné en ce moment.
**Le marché actuel du NFT, en particulier les projets PFP, a connu une grande crise de confiance, à mon avis, c'est précisément parce que ces projets ne sont pas connectés aux deux bouts. ****La plupart des projets n'ont jamais eu de consensus sur les valeurs, et le parti du projet veut juste raconter une histoire attrayante pour attirer l'adhésion. ** Il n'est peut-être pas juste pour de nombreux projets de dire que ces projets sont tous des escrocs, mais il n'est certainement pas injuste de dire que la plupart d'entre eux sont des escrocs. Le point le plus meurtrier est que même si l'intention initiale du projet lui-même est bonne, il n'a pas été bien mis en œuvre. Peu de projets ont pu construire un consensus de valeurs fort et durable. La plupart des soi-disant « participants communautaires » attirés sont également là pour gagner de l'argent.
Il n'y a évidemment pas de consensus au niveau technique, la plupart des projets ne sont qu'une collection d'images on-chain/off-chain, et beaucoup de projets n'ont même pas de compte multi-signatures cogéré par la communauté. Si vous ne pouvez pas toucher les deux bouts, il n'y a naturellement aucune confiance.
Bien que de tels projets puissent maintenir un équilibre consensuel délicat pendant un certain temps, et puissent même présenter de fortes caractéristiques consensuelles pour attirer davantage de participants, cet équilibre est très fragile. Le sort d'un projet communautaire n'est pas seulement déterminé par l'initiateur du projet, mais aussi par la communauté elle-même. Et la communauté n'a jamais été un produit de pipeline qui peut être construit à travers un certain mécanisme. Une communauté doit mûrir organiquement, en harmonie avec son éthos culturel.
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Code vs culture : sources de confiance dans un monde crypto
Auteur : CHAO WANG
Qu'il s'agisse du monde crypté ou du monde réel, la confiance est la base du fonctionnement continu du monde. Dans le monde de la cryptographie, la confiance se construit de deux manières distinctes.
Les projets les plus courants dans le monde du chiffrement sont des projets de protocole fort, qui implémentent la confiance grâce à un code déployé sur le réseau blockchain qui ne peut pas être modifié à volonté.Ce concept est appelé "Trustless", qui est souvent traduit par "faire confiance". Bien sûr, la méfiance ne signifie pas qu'il n'y a pas de confiance, mais qu'il n'y a pas lieu de considérer le facteur confiance. Parce que **la confiance des gens vient de 1) le code est ouvert, transparent et fort ; 2) le réseau blockchain où le code est déployé est également suffisamment sécurisé. **
En prenant Bitcoin comme exemple, les gens n'ont pas besoin de faire confiance à Satoshi Nakamoto. La confiance de chacun vient de l'intégrité du code Bitcoin et de la sécurité du réseau Bitcoin. De même, si une personne utilise Uniswap, elle n'a pas à faire confiance au fondateur Hayden Adams, mais fait confiance au code d'Uniswap lui-même et à la sécurité du réseau Ethereum. Cette forme de confiance découle d'un consensus au niveau technique et sous-tend les valeurs fondamentales du monde de la cryptographie.
Avec l'évolution de la culture du chiffrement, de nombreux projets communautaires ont vu le jour. De tels projets s'appuient sur les membres de la communauté pour organiser et faire avancer le projet, plutôt que sur du code pré-déployé sur la blockchain. Bien qu'il soit dit communautaire, la plupart des projets impliquent généralement un initiateur et un exécuteur centralisé. Longtemps, la communauté a encore besoin d'eux pour organiser efficacement le travail et favoriser le développement du projet, et parfois ils maîtrisent même les ressources et les engagements donnés souvent. font également partie du consensus général.
**La confiance dans ce contexte découle de la reconnaissance de valeurs et d'objectifs partagés, sur lesquels la communauté doit s'accorder et croire que les artistes interprètes (qu'il s'agisse d'individus, de groupes ou d'entreprises) sont également attachés à ces valeurs. **Tout le monde comprend que le pouvoir contraignant de la technologie est limité, et si l'exécutant le souhaite, il y a toujours un moyen de le contourner. Ici, la technologie de cryptage joue davantage un rôle dans la répartition de la propriété, la coordination du groupe, etc., plutôt qu'un contrôle strict sur tous les éléments du projet. Les "jeux multijoueurs" sont devenus un récit populaire dans Web3, bien que, à certains égards, cela soit en contradiction avec l'éthique sous-jacente du monde de la cryptographie.
Mais le monde n'est pas noir et blanc, ces deux situations sont comme les deux extrémités d'un spectre. La plupart des projets de protocole ne peuvent pas atteindre 100 % de contraintes de code, mais s'appuient sur ou autorisent l'intervention de la couche sociale dans une certaine mesure. Même les projets purement centrés sur les membres de la communauté utiliseront plus ou moins des contraintes de code, telles que des comptes de cogestion multi-personnes basés sur des contrats intelligents. Il existe encore de nombreux innovateurs qui travaillent dur pour assembler ces deux situations, et grâce à l'innovation, de nombreux scénarios qui ne pourraient pas être réalisés par le biais du code peuvent être réalisés.
Mais à ce jour, les projets communautaires reposent encore principalement sur le consensus de la couche sociale sur les valeurs. Un ami m'a demandé s'il existait un bon mécanisme ou même un mécanisme général pouvant être utilisé pour établir la confiance dans les projets communautaires, mais je ne pense pas qu'il y en ait un. S'il est nécessaire d'établir un mécanisme complexe pour gagner la confiance de la communauté, cela montre que le consensus de la couche sociale sur les valeurs n'a pas été atteint. Pour un projet qui s'appuie sur la communauté, son destin est presque condamné en ce moment.
**Le marché actuel du NFT, en particulier les projets PFP, a connu une grande crise de confiance, à mon avis, c'est précisément parce que ces projets ne sont pas connectés aux deux bouts. ****La plupart des projets n'ont jamais eu de consensus sur les valeurs, et le parti du projet veut juste raconter une histoire attrayante pour attirer l'adhésion. ** Il n'est peut-être pas juste pour de nombreux projets de dire que ces projets sont tous des escrocs, mais il n'est certainement pas injuste de dire que la plupart d'entre eux sont des escrocs. Le point le plus meurtrier est que même si l'intention initiale du projet lui-même est bonne, il n'a pas été bien mis en œuvre. Peu de projets ont pu construire un consensus de valeurs fort et durable. La plupart des soi-disant « participants communautaires » attirés sont également là pour gagner de l'argent.
Il n'y a évidemment pas de consensus au niveau technique, la plupart des projets ne sont qu'une collection d'images on-chain/off-chain, et beaucoup de projets n'ont même pas de compte multi-signatures cogéré par la communauté. Si vous ne pouvez pas toucher les deux bouts, il n'y a naturellement aucune confiance.
Bien que de tels projets puissent maintenir un équilibre consensuel délicat pendant un certain temps, et puissent même présenter de fortes caractéristiques consensuelles pour attirer davantage de participants, cet équilibre est très fragile. Le sort d'un projet communautaire n'est pas seulement déterminé par l'initiateur du projet, mais aussi par la communauté elle-même. Et la communauté n'a jamais été un produit de pipeline qui peut être construit à travers un certain mécanisme. Une communauté doit mûrir organiquement, en harmonie avec son éthos culturel.