Auteur : Stablecoin Sean, partenaire de FinTech Collective ; Traduction : Golden Finance 0xjs
Nous sommes en pleine saison des conférences crypto aux États-Unis. Attendez-vous donc à des débats généralisés sur « l’arrivée des agences » ou « de quoi avons-nous besoin pour parvenir à une adoption institutionnelle ».
Le problème fondamental est qu’aux États-Unis, le terme « institution » englobe souvent trop de choses, et la réalité est qu’il faut penser de manière plus nuancée en ce qui concerne les crypto-monnaies et l’institutionnalisation.
Voici mon cadre de réflexion sur les institutions américaines actuelles qui se lancent dans les crypto-monnaies :
● Les grands propriétaires d'actifs (fonds de pension, fonds de dotation, fondations) : ils ont considérablement réduit leurs allocations aux fonds de crypto-monnaie et aux investissements directs, et la plupart ne sont actuellement pratiquement pas impliqués dans les crypto-monnaies. Peut-être qu'ils ont assisté à la réunion, mais ils n'ont clairement pas fait de répartition d'actifs. Ils sont les plus conservateurs et donc les plus lents à agir et les derniers à agir lorsque le marché se redresse (si c'est le cas).
● Gestionnaires d'actifs (par exemple Fidelity, Van Eck, Franklin Templeton, BlackRock, etc.) : des ETF aux banques utilisant la technologie blockchain pour perturber la structure actuelle des marchés de capitaux, les gros titres sur ce front sont nombreux. Parce que la désintermédiation financière actuelle retire également de l’argent des poches des gestionnaires d’actifs et le met directement entre les mains des banques, les gestionnaires d’actifs comptent parmi les groupes les plus pro-crypto-monnaie, avec des sociétés comme Franklin Templeton qui gagnent de l’argent dans des nœuds publics. réseau de chaînes, mettre des fonds du marché monétaire en chaîne et gérer des comptes à gestion unique (SMA) pour ses clients afin de fournir de l'alpha dans les crypto-monnaies.
● Banques (JPMorgan, Goldman Sachs, Morgan Stanley, etc.) : les crypto-monnaies sans autorisation ne sont pas leurs amies et sont les plus préjudiciables à leurs monopoles et à leurs structures de frais. Il est donc préférable de croire qu'elles font du lobbying en coulisses pour protéger les finances des entreprises et des consommateurs. de DeFi sans autorisation. De plus, ils ont peu accès à ces éléments, à l’exception peut-être des teneurs de marché sur les marchés Bitcoin (BTC) et Ethereum (ETH), car ils ont la conformité et la réglementation les plus strictes. Ils exploitent des versions privées de certaines chaînes publiques qui ne sont pas vraiment open access ou open source, simplement pour réduire leurs coûts de middle et back office.
● Les entreprises (en réalité des entreprises, et non de véritables institutions) : expérimentent l'utilisation de la technologie pour de nouveaux cas d'utilisation, et elles ont historiquement alloué directement aux fonds de crypto-monnaie. Par exemple, via des sociétés comme Paypal et Visa, qui expérimentent des pièces stables, et des NFT pour des points d'entreprises comme Starbucks.
● Les petits propriétaires d'actifs (family offices, particuliers fortunés) : seront les plus durement touchés en 2022 et 2023, avec une surallocation à toutes les technologies, y compris les crypto-monnaies. Ils ne reviendront pas de sitôt.
La prochaine fois que quelqu’un utilisera le terme « institution » en relation avec les crypto-monnaies, il est préférable d’être prudent dans ses commentaires s’il ne peut pas faire la distinction entre les catégories ci-dessus.
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De quelles institutions parlons-nous lorsque nous disons que les institutions se lancent dans les crypto-monnaies ?
Auteur : Stablecoin Sean, partenaire de FinTech Collective ; Traduction : Golden Finance 0xjs
Nous sommes en pleine saison des conférences crypto aux États-Unis. Attendez-vous donc à des débats généralisés sur « l’arrivée des agences » ou « de quoi avons-nous besoin pour parvenir à une adoption institutionnelle ».
Le problème fondamental est qu’aux États-Unis, le terme « institution » englobe souvent trop de choses, et la réalité est qu’il faut penser de manière plus nuancée en ce qui concerne les crypto-monnaies et l’institutionnalisation.
Voici mon cadre de réflexion sur les institutions américaines actuelles qui se lancent dans les crypto-monnaies :
● Les grands propriétaires d'actifs (fonds de pension, fonds de dotation, fondations) : ils ont considérablement réduit leurs allocations aux fonds de crypto-monnaie et aux investissements directs, et la plupart ne sont actuellement pratiquement pas impliqués dans les crypto-monnaies. Peut-être qu'ils ont assisté à la réunion, mais ils n'ont clairement pas fait de répartition d'actifs. Ils sont les plus conservateurs et donc les plus lents à agir et les derniers à agir lorsque le marché se redresse (si c'est le cas).
● Gestionnaires d'actifs (par exemple Fidelity, Van Eck, Franklin Templeton, BlackRock, etc.) : des ETF aux banques utilisant la technologie blockchain pour perturber la structure actuelle des marchés de capitaux, les gros titres sur ce front sont nombreux. Parce que la désintermédiation financière actuelle retire également de l’argent des poches des gestionnaires d’actifs et le met directement entre les mains des banques, les gestionnaires d’actifs comptent parmi les groupes les plus pro-crypto-monnaie, avec des sociétés comme Franklin Templeton qui gagnent de l’argent dans des nœuds publics. réseau de chaînes, mettre des fonds du marché monétaire en chaîne et gérer des comptes à gestion unique (SMA) pour ses clients afin de fournir de l'alpha dans les crypto-monnaies.
● Banques (JPMorgan, Goldman Sachs, Morgan Stanley, etc.) : les crypto-monnaies sans autorisation ne sont pas leurs amies et sont les plus préjudiciables à leurs monopoles et à leurs structures de frais. Il est donc préférable de croire qu'elles font du lobbying en coulisses pour protéger les finances des entreprises et des consommateurs. de DeFi sans autorisation. De plus, ils ont peu accès à ces éléments, à l’exception peut-être des teneurs de marché sur les marchés Bitcoin (BTC) et Ethereum (ETH), car ils ont la conformité et la réglementation les plus strictes. Ils exploitent des versions privées de certaines chaînes publiques qui ne sont pas vraiment open access ou open source, simplement pour réduire leurs coûts de middle et back office.
● Les entreprises (en réalité des entreprises, et non de véritables institutions) : expérimentent l'utilisation de la technologie pour de nouveaux cas d'utilisation, et elles ont historiquement alloué directement aux fonds de crypto-monnaie. Par exemple, via des sociétés comme Paypal et Visa, qui expérimentent des pièces stables, et des NFT pour des points d'entreprises comme Starbucks.
● Les petits propriétaires d'actifs (family offices, particuliers fortunés) : seront les plus durement touchés en 2022 et 2023, avec une surallocation à toutes les technologies, y compris les crypto-monnaies. Ils ne reviendront pas de sitôt.
La prochaine fois que quelqu’un utilisera le terme « institution » en relation avec les crypto-monnaies, il est préférable d’être prudent dans ses commentaires s’il ne peut pas faire la distinction entre les catégories ci-dessus.